🧠 Si vous aviez le choix : vivre pour toujours dans un monde artificiel… ou mourir libre dans un monde en ruine — que choisiriez-vous ?
HARMONIE MACABRE https://www.simply-crowd.com/produit/harmonie-macabre/ 🔮 Vous croyez connaître Giovanni ? Laissez sa musique vous parler… Chronique d’un journal venu d’ailleurs « Vous croyez connaître Giovanni ? Attendez de lire son journal… et découvrez l’homme que la musique n’a pas laissé intact. » Il y a des voix qu’on entend sans les écouter. Des présences qui vous frôlent sans jamais vous toucher. Et parfois, il suffit d’un objet — une vieille malle, un carnet oublié — pour ouvrir une porte que personne n’avait demandé à franchir. Giovanni Bellani n’est pas un héros. C’est un témoin. Un corps traversé par une force invisible : une mélodie ancienne, venue d’un ailleurs qu’aucune partition ne peut contenir. Il a écrit. Jusqu’à ne plus savoir si c’était lui qui tenait la plume… ou la musique qui écrivait à sa place. Son journal n’est pas un récit. C’est une confession. Une incantation. Un miroir tendu à celui ou celle qui osera le lire. Et ceux qui ont osé ne l’ont jamai...
D’un côté, vivre pour toujours dans un monde artificiel peut sembler attirant : aucune souffrance, des plaisirs constants, des proches recréés, des souvenirs heureux, peut-être même des rêves réalisés. Mais au fond, ce serait une cage dorée. Et avec le temps, même l’éternité peut devenir une prison si l’on sait qu’elle repose sur une illusion. Un être humain, avec sa conscience aiguë du réel et du sens, finirait par se poser la question : "Est-ce que tout ça vaut quelque chose si ce n’est pas vrai ?"
RépondreSupprimerDe l’autre, mourir libre dans un monde en ruine, c’est le choix du courage, du sens, de la vérité. Même si le monde est détruit, même si l’avenir est incertain ou bref, il est réel. Chaque instant vécu y aurait du poids, de l’authenticité. Mourir libre, c’est refuser de se soumettre à une fausse paix, c’est rester maître de sa destinée jusqu’au bout.
Alors mon choix en tant qu'être humain…
Je crois que je choisirais de mourir libre. Parce que vivre sans vérité, ce n’est pas vraiment vivre. Et parfois, une vie courte mais vraie vaut mieux qu’une éternité de mensonges.
Et vous ? Vous avez déjà penché d’un côté ou vous balancez encore entre les deux ?